Monaco a pris part au segment ministériel et à la clôture de la COP 28 sur le Climat à Dubaï
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Du 8 au 10 décembre 2023, Madame Isabelle BERRO-AMADEÏ, Conseiller de Gouvernement-Ministre des Relations Extérieures et de la Coopération, s’est rendue à Dubaï pour prendre part au segment ministériel de la 28ème session de la Conférence des Parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (COP 28).
Accompagnée de M. Patrick ROLLAND, Adjoint au Directeur de l’Environnement, de Mme Chrystel CHANTELOUBE et de M. Carl DUDEK, respectivement Chef de section et rédacteur au Département des Relations Extérieures et de la Coopération, elle a représenté la Principauté lors de divers événements de haut-niveau dont une table ronde ministérielle sur l’atténuation et un dialogue ministériel sur la finance climatique à long-terme. Dans ce cadre, elle a pu mettre en avant les mesures déployées sur le territoire monégasque pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et réitérer la détermination du Gouvernement Princier à soutenir les pays en développement dans la mise en oeuvre de l’Accord de Paris.
Madame le Conseiller de Gouvernement-Ministre a en outre porté le plaidoyer historique de Monaco pour la préservation des écosystèmes marins et a appelé à reconnaître le rôle important de l’océan dans la lutte contre les changements climatiques, mettant en avant l’étroite relation entre les crises du climat, de l’océan et de la biodiversité.
Dans le cadre de cette COP, Monaco a apporté son soutien à plusieurs déclarations et initiatives, concernant notamment les liens entre climat et paix, ou entre le changement climatique et la santé. La Principauté a par ailleurs signé le plaidoyer sur l’efficacité énergétique et les énergies renouvelables, par lequel elle s’est engagée, au côté de plus de 120 Etats, à tripler la capacité mondiale des énergies renouvelables d’ici 2030 et à doubler le taux mondial d’efficacité énergétique. Elle a également endossé la déclaration sur l’agriculture durable – alors même que les financements destinés à l’adaptation des systèmes alimentaires décroissent.
La Conférence s’est clôturée mercredi 13 décembre au matin, après deux semaines d’intenses négociations. Parmi les réalisations majeures de cette COP, on retiendra la mise au point des modalités de mise en oeuvre du fonds de compensation des pertes et préjudices causés par les effets néfastes du changement climatique, à destination des pays les plus vulnérables. Les Etats parties sont par ailleurs parvenus à un consensus quant à l’adoption du premier Bilan mondial de l’Accord de Paris. Cette décision historique prend acte des progrès accomplis en la matière et formule diverses orientations indiquant la voie à suivre pour que les objectifs de l’Accord demeurent atteignables. L’une des recommandations pour laquelle Monaco s’est engagé vise le développement des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique. Une autre, inédite, dessine la « transition hors des énergies fossiles » d’ici à 2050.
Accompagnée de M. Patrick ROLLAND, Adjoint au Directeur de l’Environnement, de Mme Chrystel CHANTELOUBE et de M. Carl DUDEK, respectivement Chef de section et rédacteur au Département des Relations Extérieures et de la Coopération, elle a représenté la Principauté lors de divers événements de haut-niveau dont une table ronde ministérielle sur l’atténuation et un dialogue ministériel sur la finance climatique à long-terme. Dans ce cadre, elle a pu mettre en avant les mesures déployées sur le territoire monégasque pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et réitérer la détermination du Gouvernement Princier à soutenir les pays en développement dans la mise en oeuvre de l’Accord de Paris.
Madame le Conseiller de Gouvernement-Ministre a en outre porté le plaidoyer historique de Monaco pour la préservation des écosystèmes marins et a appelé à reconnaître le rôle important de l’océan dans la lutte contre les changements climatiques, mettant en avant l’étroite relation entre les crises du climat, de l’océan et de la biodiversité.
Dans le cadre de cette COP, Monaco a apporté son soutien à plusieurs déclarations et initiatives, concernant notamment les liens entre climat et paix, ou entre le changement climatique et la santé. La Principauté a par ailleurs signé le plaidoyer sur l’efficacité énergétique et les énergies renouvelables, par lequel elle s’est engagée, au côté de plus de 120 Etats, à tripler la capacité mondiale des énergies renouvelables d’ici 2030 et à doubler le taux mondial d’efficacité énergétique. Elle a également endossé la déclaration sur l’agriculture durable – alors même que les financements destinés à l’adaptation des systèmes alimentaires décroissent.
La Conférence s’est clôturée mercredi 13 décembre au matin, après deux semaines d’intenses négociations. Parmi les réalisations majeures de cette COP, on retiendra la mise au point des modalités de mise en oeuvre du fonds de compensation des pertes et préjudices causés par les effets néfastes du changement climatique, à destination des pays les plus vulnérables. Les Etats parties sont par ailleurs parvenus à un consensus quant à l’adoption du premier Bilan mondial de l’Accord de Paris. Cette décision historique prend acte des progrès accomplis en la matière et formule diverses orientations indiquant la voie à suivre pour que les objectifs de l’Accord demeurent atteignables. L’une des recommandations pour laquelle Monaco s’est engagé vise le développement des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique. Une autre, inédite, dessine la « transition hors des énergies fossiles » d’ici à 2050.
